Ces scènes de violences, on les croyait fini avec la crise des gilets jaunes, pourtant après 8 journées de manifestations pacifique contre la réforme des retraites, elles ont fait leur réapparition dans les cortèges. Lors de la dernière mobilisation à Toulouse 400 black blocks ont été recensés.
Si le parcours exclu l’hyper centre, les boulevards ont été victimes de jets de projectiles lors d’affrontement avec les forces de l’ordre ainsi que de dégradation de l’espace public. Des dégradations estimées à 200 000 euros que le maire condamne.
Autre regret pour le président de la métropole, le blocage mercredi soir d’un site technique de la ville empêchant la sortie des camions de collecte des ordures ménagères. Une grève liée à la contestation contre la réforme des retraites qui passe mal pour Jean-Luc Moudenc
Prochaine journée de manifestation le 6 avril prochain. Reste à savoir si la rencontre entre les syndicats et Elisabeth Borne peut encore apaiser les tensions.
