Le bio est-il toujours invité à nos tables vendéennes ?
Avec des prix en moyenne 15 à 50 % plus élevés que ceux des produits classiques, le secteur du bio séduit moins qu’auparavant. En conséquence, CAVAC demande à ses agriculteurs sociétaires de réduire leur production. La clientèle du bio se fait de plus en plus rare, la faute à une inflation qui a brisé la dynamique du secteur et entraîné une baisse de la consommation de ces produits. La viande est particulièrement impactée, obligeant les producteurs à réduire leur rendement.